Suite au vote, en octobre 2007, d'une loi contre la violence dans les jeux vidéo et la subversion de l'ordre public, le gouvernement brésilien vient d'interdire plusieurs jeux à la vente, parmi lesquels Everquest et Counter-Strike.
Ces jeux sont en effet censés constituer une "attaque contre l'état de droit et la sécurité publique" de par leur incitation à la violence et l'effet de dépendance qu'ils créent chez le joueur.
Revendeurs et cyber-cafés sont sommés de retirer ces jeux de leur catalogue vidéoludique, sous peine d'une amende plutôt salée.
Il en va des intérêts de la nation.
A quand l'interdiction du string, cet objet d'incitation à la luxure qui booste le taux de natalité, engendre une surpopulation et entretient la crise immobilière ?